GRAND RASSEMBLEMENT
LE SAMEDI 5 SEPTEMBRE 2015 A 11h
DEVANT LA MAIRIE DE CLAMART
Le maire de Clamart a fait voter lors du Conseil municipal du 9 juillet 2015 une hausse des tarifs périscolaires (accueil du matin et du soir, étude dirigée, cantine, accueil de loisirs…) de 40% en moyenne, applicable dès cette rentrée, et l’instauration d’un droit d’inscription aux Nouvelles activités périscolaires (NAP).
Ce rassemblement est CONTRE :
- La hausse des tarifs péri-scolaires,
- La baisse des personnels (animateurs, logistiques, Atsem) dans les écoles,
- L’absence de concertation et d’écoute des parents d’élèves.
POURQUOI L’AAPE, LA FCPE et la PEEP DISENT NON !
- Parce que cette hausse intervient alors que la mairie diminue les moyens municipaux octroyés aux écoles : baisse du nombre d’ATSEM et d’agents de nettoyage, coupes sur les Réseaux d’aide spécialisée aux élèves en difficulté (RASED), sur le Réseau d’éducation prioritaire, et sur les sorties scolaires.
- Parce que cette hausse intervient alors que les parents ont déjà dû payer certains tarifs périscolaires plus chers l’année dernière, avec notamment la hausse du tarif de l’étude et la mise en place de la tranche de garderie payante supplémentaire entre 16h et 16h30.
- Parce que le maire de Clamart s’était engagé sur la gratuité des NAP mises en place dans la cadre de la réforme des rythmes scolaires tant que les aides de l’Etat seraient maintenues, ce qui sera le cas en 2015-2016. La mise en place du paiement d’un droit d’inscription constitue une remise en cause de cet engagement.
L’AAPE, LA FCPE et la PEEP de Clamart ne peuvent accepter ces arbitrages budgétaires faits au détriment de l’école publique, et qui vont impacter fortement le porte-monnaie des familles. Les économies ne doivent pas se faire aux dépens des familles et des écoles, d’autant plus lorsque des investissements importants sont, dans le même temps, réalisés dans d’autres domaines par la municipalité.
Seule une mobilisation massive et unitaire permettra aux parents
et à leurs associations de se faire entendre.
ALORS SOYONS NOMBREUX